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Rue
Teulère
Elle prit au Moyen-Âge le nom de rue "Entre-deux-murs"
du nom des deux enceintes qui ceinturaient la ville. Puis elle fut baptisée
"rue Poudiot".
En 1824, Joseph Teulère y mourut. Il fut d'abord
tailleur de pierres puis architecte et ingénieur. C'est lui qui rehaussa
de 20 mètres le phare de Cordouan en 1788. Il dressa aussi une carte
du golfe de Gascogne. |
De la rue de l'Hôtel-de-Ville
à la place Saint-Projet
Rue des Trois-Conils
Conilh en gascon veut dire lapin. Les
Bordelais se donnaient rendez-vous dans l'hostellerie du talentueux Julien
Bernard. Son enseigne portait trois lapins qui dansaient et ces
mots "Hostellerie deus très conils"
A noter qu'on trouve deux noms gravés dans cette rue : à
l'angle de la rue de l'Hôtel-de-Ville, il est écrit avec deux
"n" et au bout côté place Saint-Projet avec un "n"
seulement, qui est l'orthographe correcte. |
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Rue de la Tour-du-Pin
Du nom d'une des tours de la deuxième enceinte. |
Place de
Tourny
Louis, marquis de Tourny fut intendant de Guienne de 1743 à 1757.
Il embellit Bordeaux de manière spectaculaire avec la façade
des quais, les immeubles de la place Gambetta, el Jardin Public...)
Sous la Révolution, la suppression de la porte Tourny (au bout
des actuelles allées Tourny), dégagea une place
extérieure (actuelle place Tourny) et une place
intérieure (place formée par le bâtiment
des vins Badie et de l'Hôtel Meyer) située au bout des allées
Tourny.
Quand on inuagure les allées Tourny en 1749, on démolit
la porte Saint Germain. Sous la Révolution elle gardera le nom
de place Saint-Germain.
On devine encore de
nos jours, les inscriptions à l'angle du cours de Verdun
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Rue Tustal
Anciennement rue Artigua, elle prit le nom de la famille
de Tustal qui possédait deux beaux immeubles près
de l'église Saint-Projet. |
Cours du XXX
juillet
En l'honneur de la Révolution de Juillet 1830 qui
vit les Parisiens s'insurger contre Charles X et qui vit l'arrivée
de Louis Philippe 1er.
Aupravant, au moment de la vente du Château Trompette, la voie ainsi
dégagée poratit le nom de rue Vergennes.
Elle prit ensuite le nom de rue Bonaparte. Sous la Restauration,
elle prit le nom de cours du 12-Mars, pour rappeler l'entrée
du duc d'Angoulème à Bordeaux en 1814. |
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